Le Kabamanoj F1 est une semence hybride de Maïs Jaune adapté aux conditions agro climatiques. Elle a un bon potentiel de rendement allant jusqu’à 10 Tonnes/ha.
L’avantage considérable des hybrides F1 de maïs (rendement double et résistances aux stress et maladies uniformément améliorés) tient au fait que toutes les plantes de la variété possèdent un niveau d’hétérosis (ou « vigueur hybride ») identique et très élevé, alors que dans une population l’hétérosis est répartie très irrégulièrement.
De plus, chaque plante exprime les caractères de résistance fixés dans ses parents, alors que, dans une population, une partie des plantes sont sensibles aux maladies, stress et accident physiologiques.
Caractéristiques et performances
- Un rendement très élevé (une moyenne de 10 tonnes à l’ha)
- Une meilleure résistance des plantes à la verse ;
- Une meilleure tolérance au stress de sècheresse ;
- Une meilleure résistance aux maladies.
Ce qu’ils en disent :
A l’unanimité tous les producteurs ont trouvé que la variété Kabamonoj est très performante vus les rendements obtenus. Les composants de rendement sont très appréciés par les producteurs à savoir le remplissage des graines et le nombre d’épis par plante.
« L’année dernière, je m’en étais tiré avec 4 tonnes à l’hectare. A peine de quoi satisfaire la forte demande en des fermiers, nos plus gros clients ». Mais ajoute-il, « Cette nouvelle variété, à vue d’œil me permettra de faire de bonnes affaires cette saison. » Kabinet Diakité, producteur à siguiri
« L’augmentation des rendements à l’ha a été favorisé par le taux de germination des semences, qui sont dans la plupart des cas de 9 tonnes à l’ha. Et cette hausse repose substantiellement sur trois piliers : la qualité des semences apportées par le PDAIG, le choix des producteurs qui ont déjà de l’expérience à produire sur de grandes superficies et l’accompagnement technique ». Tidiane Ly, Chef des Opération agricoles de Dinguiraye
‘’ On fait des économies sur les semences et on les redistribue Le surplus de semences profite à de nouveaux producteurs. Grâce au respect des bonnes pratiques de semis, les paysans ont pu récupérer sur chaque ha entre 4 et 5 kg de semences qui ont bénéficié à d’autres producteurs isolés. Pour nous, il a surtout été question de relever le défi de la productivité. ‘’ Bakary Kéïta, Chef des Opérations agricoles de Siguiri